lundi 28 juin 2010

Quesadillas French-Mex (fromage bleu et jambon cru)


En deux mots, les quesadillas sont des tortillas de blé ou de maïs garnies de fromage. Et de piment. Et aussi de tout ce que vous voudrez y mettre. Les variations sont donc infinies, et il s’agira surtout de vous faire plaisir, à vous et aux personnes que vous voulez nourrir.

Aujourd’hui, vous invitez vos voisins à boire l’apéro. Et parmi eux, René. René a un cœur d’or, vous l’aimez beaucoup et vous voulez donc le régaler. Mais il n’aime pas beaucoup la nourriture « exotique ». Il tolère à peine les cacahuètes, et clame à qui veut l’entendre que le maïs, c’est de la nourriture pour les poules.
Pourtant, vous, vous aimeriez bien refourguer les tortillas (heureusement de blé) que vous avez cuisinées de vos mains habiles (ou achetées au supermarché, c'est plus rapide). La solution pour satisfaire tout le monde ? Hé, hé, vous avez trouvé ! Les quesadillas French-Mex, nos galettes mexicaines, fourrées avec des ingrédients bien français : du fromage bleu et du jambon cru.

Vous direz à René que les tortillas sont des crêpes. Il les trouvera sans doute bien épaisses, mais comme il est tout de même relativement poli, vous échapperez probablement aux réflexions désagréables. Il suffira d’y aller mollo sur le piment dans la salsa au cornichon, et de lui assurer que non, la coriandre le persil n’a pas un drôle de goût.


Quesadillas French-Mex
Pour 4 quesadillas, coupées en 16 triangles

- 4 tortillas de blé
- 1 boule de mozzarella de 125 g (c'est français, la mozzarella ? Non ?)
- 125 g de fromage à pâte persillée
- 4 grandes tranches de jambon cru
- 4 cc d'huile pour la cuisson

Pour la salsa
- 1/3 de concombre
- 4 ou 5 gros cornichons (environ 50 g)
- 1 piment vert frais (à ajuster suivant la force du piment)
- 1 petit bouquet de coriandre fraîche (ou du persil)
- 3 cs de vinaigre (celui du pot de cornichon, par exemple)

Commencer par préparer la salsa au cornichon :
Couper le concombre et les cornichons en petits cubes d’environ 5 mm de côté. Emincer finement la coriandre. Couper la tige du piment et l’épépiner, puis le hacher finement. Mélanger tous les ingrédients dans un bol, ajouter le vinaigre, réservez au réfrigérateur.

Préparer les quesadillas :
Préchauffer le four à 150 °C
Couper la mozzarella et le fromage bleu en petits morceaux, mélanger les deux fromages.
Huiler au pinceau chaque tortilla de blé sur une face avec 1 cc d’huile environ.
Poser une tortilla dans une poêle, face huilée en dessous, et chauffer à feu moyen/vif. Disposer sur une moitié de la tortilla ¼ du mélange de fromage, puis une tranche de jambon cru.  Replier la tortilla en deux. Continuer la cuisson quelques minutes pour faire dorer la tortilla sur les deux faces.
Réserver au four le temps de préparer de la même façon les 3 autres tortillas.
Couper chaque tortilla en 4 triangles, et servir avec la salsa au cornichon.


Je vous ai dit hier combien j’ai envie de partir au Mexique pour manger plein de tortillas. C’est pour quoi je participe, encore,  avec cette recette au concours de recettes Drunch Mexicanté (apéro dinatoire mexicain) organisé par Mexicanté / odélices.

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dimanche 27 juin 2010

Quesadillas aux haricots rouges et salsa mexicaine


Et pourquoi pas un petit voyage au Mexique ?
Pour l’instant, je vous emmène pour un voyage simplement dans l’assiette, et c’est déjà pas mal. Mais qui sait, avec un peu de chance… Mexicanté et odélices proposent un concours de recettes avec à la clé, un voyage au Mexique, un vrai. Sept jours au soleil, piments et téquila, guacamole et tortillas.

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Comme il n’est pas facile d’échapper aux clichés quand il s’agit d’élaborer une recette inspirée de la cuisine mexicaine, surtout quand on ne connait pas grand-chose de ce pays, j’ai décidé de simplement préparer quelque chose que j’aime, sans prétention d’originalité ni d’authenticité. Des tortillas de blé (l’ingrédient imposé) dorées et croustillantes, du fromage fondant, des haricots rouges tendres (et bon marchés), et une salsa épicée et fraîche pour réveiller le tout.  Le résultat : une recette sympa à picorer et partager pour des apéros estivaux et ensoleillés! (Je devrais me reconvertir dans le marketing, non ? )

Allez, souhaitez-moi bonne chance pour que je m’envole au Mexique, histoire de vérifier si ma recette est authentique, ou pas.


Quesadillas aux haricots rouges et salsa mexicaine

Pour 4 quesadillas, coupées en 16 triangles

- 4 tortillas de blé
- 1 boule de mozzarella (125 g)
- 125 g d'emmental
- 4 cc d'huile pour la cuisson

Pour la salsa
- 2 ou 3 tomates (environ 400 g)
- 2 oignons blancs, avec leur tige
- 1 piment vert frais
- 1 petit bouquet de coriandre fraiche
- 2 citrons verts

Pour les haricots rouges
- 400 g de haricots rouges cuits
- 1 oignon
- 1 cs d'huile
- 1 cc de cumin



 Commencer par préparer la salsa :
Couper les tomates et les oignons blancs en petits cubes d’environ 5 mm de côté. Emincer finement la tige verte des oignons, ainsi que la coriandre. Couper la tige du piment et l’épépiner, puis le hacher finement. Presser le jus des citrons. Mélanger tous les ingrédients dans un bol, saler légèrement et réserver au réfrigérateur.

Préparer les haricots rouges :
Dans une poêle ou une casserole, faire chauffer 1 cs d’huile et y mettre à dorer un oignon émincé. Quand l’oignon est doré, ajouter 1 cc de cumin, mélanger quelques instants, puis ajouter les haricots rouges avec 4 à 6 cs de leur jus de cuisson. Ecraser quelques haricots à la fourchette, pour lier l’ensemble. Ajouter aux haricots environ 1/3 de la salsa mexicaine, saler éventuellement. Réserver.

Préparer les quesadillas :

Préchauffer le four à 150 °C
Râper l’emmental, couper la mozzarella en petits morceaux, mélanger les deux fromages.
Huiler au pinceau chaque tortilla de blé sur une face avec 1 cc d’huile environ.
Poser une tortilla dans une poêle, face huilée en dessous, et chauffer à feu moyen/vif. Disposer sur une moitié de la tortilla ¼ du mélange de fromage, puis ¼ des haricots rouges. Replier la tortilla en deux. Continuer la cuisson et faire dorer la tortilla sur les deux faces.
Réserver au four le temps de préparer de la même façon les 3 autres tortillas.
Couper chaque tortilla en 4 triangles, et servir avec la salsa.

[concours de recettes Drunch Mexicanté (apéro dinatoire mexicain) organisé par Mexicanté / odélices]
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mardi 22 juin 2010

Soupe à la salade


Ceci n’est pas une soupe à la salade.
Parce qu’étymologiquement, la soupe, c’est la tranche de pain qu’on arrose de bouillon.
Cette soupe qui n’en est pas une ne contient pas de pain, c’est donc plus probablement un potage (qu’on fait dans un pot). Mais j’ai utilisé une casserole…

Si vous préférez manger une soupe étymologiquement correcte, rien ne vous empêche d’ailleurs d’utiliser des tranches de pain à la place des pommes de terre. Ou si le potage incorrectement appelé soupe ne vous dérange pas, une courgette épaissira tout aussi bien votre velouté (velouté, à condition d’y ajouter de la crème et des jaunes d’œufs…).

Trêve de plaisanterie, cette soupe permet de faire un repas d’un reste de salade verte prête à périmer, et ça c’est drôlement bien.

Soupe (ou potage) à la salade
Quantités pour 4 bols

½ salade environ
1 l d’eau
2 tablettes de bouillon de volaille
3 pommes de terre moyennes (ou autre ingrédient épaississant type pain, courgette…)
A votre convenance et suivant vos moyens : herbes fraîches ou non, poivre, lait, crème, fromage, lardons rissolés, une ou deux feuilles de salade émincées …

Éplucher, laver et couper en petits morceaux les pommes de terre. Les faire cuire avec 1 l d'eau et les tablettes de bouillon dans une grande casserole (grande casserole car il faut prévoir la place pour la salade).

Quand les pommes de terre sont cuites, ajouter la salade (évidemment préalablement nettoyée), continuer la cuisson une ou deux minutes. Mixer. Poivrer et rectifier l'assaisonnement en sel si besoin.

Servir la soupe dans des bols ou assiettes, et ajouter les ingrédients qui vous font plaisir.
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mercredi 16 juin 2010

Poêlée de porc et aubergine au gingembre


Même les inconditionnels de la cuisine ont des moments où l’envie de cuisiner est moins présente.  Cette poêlée de porc et d’aubergine au gingembre est parfaite pour les soirs de petite flemme (petite flemme, parce que les soirs de grosse flemme, moi j’ai à peine la force de décongeler un truc préparé à l’avance, pas question de sortir une casserole).
Les soirs de petite flemme, donc, je suis encore capable de cuisiner si la préparation et la cuisson du plat ne prend pas plus de 20 minutes, vaisselle comprise. Cette recette répond aux critères. Elle est simple et rapide, elle ne prend pas plus de temps à préparer qu’il n’en faut pour cuire le riz qui l’accompagnera.

J’aime bien dans ce plat le côté confit, caramélisé et fondant des dés d’aubergine, mais d’autres légumes peuvent la remplacer : une courgette, une poignée de haricots verts surgelés, ou tout simplement un ou deux autres oignons, si vous les aimez.

Poêlée de porc et aubergine au gingembre
Quantités pour 2 à 3 personnes

200/ 250 g de porc (ici j’ai mis une tranche de rôti de porc, mais tout autre morceau fera l’affaire, j’utilise souvent des côtes de porc dans l’échine)
1 petite aubergine
1 oignon
1 gousse d’ail
1 noix de gingembre (environ 30 g)
2 cs de nuoc-mâm
1 à 2 cs de sauce soja
½ cc de sauce pimentée sriracha, (ou une autre forme de piment à votre disposition)
1 cs d’huile
1 cs de sucre en poudre (si vous mettez du miel, ou pourquoi pas de la confiture, ça ira aussi)
½ verre d’eau (environ 10 cl) 
Facultatif : 1 cc de graines de sésame dorées à sec, un peu de coriandre fraîche pour servir


Émincer le porc. Peler et râper le gingembre et la gousse d’ail. Peler l’oignon et l’émincer grossièrement.
Mélanger le porc, le gingembre, l’ail et l’oignon. Ajouter 2 cs de nuoc-mâm, 1 cs de sauce soja, le piment, mélanger à nouveau.  A ce stade laisser éventuellement mariner au réfrigérateur, si ça vous chante (moi je ne le fais pas, rappelez-vous, c’est une recette de flemme, il faut en finir, le riz va bientôt être cuit).
Peler l’aubergine, et la couper en dés.

Chauffer l’huile dans une poêle et y ajouter le porc et sa « marinade » et les dés d’aubergine, saupoudrer avec 1 cs de sucre. Faire caraméliser et dorer à feu assez vif pendant 6 à 8 minutes en mélangeant régulièrement (restez à côté : avec le sucre, tout va caraméliser vite, mais ça carbonise vite aussi si on ne surveille pas). 

Quand tout est bien doré, ajouter ½ verre d’eau, mélanger, continuer la cuisson 2 à 3 minutes.
Vérifier l’assaisonnement et ajouter éventuellement 1 cuillère de sauce soja.
Servir et ajouter éventuellement les graines de sésame et un peu de feuilles de coriandre fraîche ciselées.
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dimanche 13 juin 2010

Cake rustique au poulet, courgette et emmental


Aujourd’hui, nous étudierons avec attention et sérieux les raisons du succès des cakes salés.
En voici une petite liste, sans aucun doute non exhaustive, je vous invite à la compléter.

-    Ils sont économiques (des œufs, de la farine, un peu de poudre à lever, des ingrédients au choix pour donner un peu de goût…). Pour que les cakes restent économiques, vous éviterez d’y ajouter du sevruga.

-    Ils vous permettent de recycler les restes (voire plus haut « ingrédients au choix pour donner un peu de goût)…

-    Ils sont bien rassasiants (des œufs, de la farine…), certaines mauvaises langues diront qu’ils sont étouffe-chrétien. Vous leur suggérerez de reprendre un peu de salade.

-    Ils sont faciles à transporter : vous les apprécierez lors de la pause-repas de vos grandes ballades à pied, à vélo ou à rame, et vous ferez taire pour la seconde fois les mauvaises langues qui, affamées, apprécieront alors le côté rassasiant du cake salé.

-    Ils sont rapides et faciles à faire (mélangez tous les ingrédients, mettre dans un moule, cuire au four…). C’est un tout petit peu plus long que réchauffer un plat surgelé, mais c’est juste parce qu’il faut faire la vaisselle. Vous penserez à déléguer.

Cake rustique au poulet, courgette et emmental
Les proportions sont adaptées à un très grand moule à cake de 30 x 11 cm.

La base :
5 œufs
250 g de farine (par exemple, 200 g de farine de blé et 50 g de farine de sarrasin pour justifier l’appellation « rustique »)
1 sachet de levure chimique
6 cl d’huile d’olive
12 cl de lait (certains y mettront du vin blanc, de la bière, de la crème liquide, du lait fermenté…)
100 g de fromage râpé (emmental ici, pour justifier l’appellation de cake « à l’emmental »)
1 cc rase de sel, et du poivre si vous voulez
1 noix de beurre pour beurrer le moule


Les ingrédients au choix :
200 g environ de restes de poulet rôti, émincés
une petite courgette, environ 200 g, lavée et coupée en dés
100 g supplémentaires d’emmental (coupés en gros dés  de 2 cm³ si vous voulez en retrouver la trace dans votre cake)
1 cc de thym (j’y ai mis à la place une bonne trentaine de gouttes du mélange d’huiles essentielles Délice&Sens 
« garrigue » )


Préchauffer le four à 180°C.
Battre légèrement les œufs avec l’huile et le lait. Ajouter tous les autres ingrédients et mélanger.
Beurrer votre moule à cake, verser la préparation.
Enfourner et cuire 45 min (vous connaissez le truc, la cuisson est terminée quand une lame de couteau plongée au centre du cake ressort sèche).
Démouler et laisser refroidir sur une grille.
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mercredi 9 juin 2010

Fabriquer ses caissettes en papier : une tentative, cubique. (et mousseux au chocolat au lait et sésame)


Acheter des caissettes en papier pour les cupcakes, mini-muffins et autres petites bouchées n’est pas si aisé : pas forcément faciles à trouver, plutôt chères, et même si on les commande sur le net, il faut en commander en grandes quantités (pour les commandes, allez lire les bons plans de Livy). Pas forcément rentable si vous n’êtes pas une cupcakista, et si vous avez juste besoin d’une dizaine de caissettes pour tester une recette.

Je me suis donc lancée dans une tentative de fabrication maison de caissettes, on s’occupe comme on peut.


Je me souvenais avoir vu dans la version pdf d’un vieux bouquin (La bonne cuisine française, manuel guide de la cuisinière et de la maîtresse de maison, par Emile Dumont, 1877) un tutoriel pour la fabrication de caisses en papier (oui, en 1877, on disait caisse, et c’était très chic de servir les entrées dedans).
J’ai essayé, et je ne recommande pas : j’ai obtenu un truc vaguement circulaire et tout chiffonné. Je vous mets tout de même le schéma et les explications d’Emile, pour le fun, et peut-être que d’autres seront plus doués que moi.



Finalement, c’est bien sûr une technique d’origami qui a sauvé ma tentative de caissette maison. Je n’ai pas trouvé de technique de pliage pour une caissette ronde ou au moins octogonale, mais une plutôt simple pour une boite en forme de cube, et qui donne des résultats honorables à mon goût. Ça n'est pas du grand art, elles sont moins jolies que des vraies caissettes pas maison, mais ça peut dépanner. Et puis elles sont carrées, ça change.



Un rectangle de papier de 30 x 15 cm donne une boite d’environ 3,7 cm³. Cette dimension est pratique pour ne pas avoir de chutes de papier cuisson (la longueur standard des rouleaux de papier sulfurisé est de 30 cm en France)
Un rectangle de papier de 40 x 20 cm donne une boite d’environ 5 cm³, une dimension convenable pour un gâteau individuel. 

Vous pouvez utiliser des rectangles de papier de toutes les dimensions, mais après essai je vous conseille d’utiliser un rectangle deux fois plus long que large (30 x15, 40 x 20, 20 x 10 cm…) pour que tous les cotés de la boite soient constitués sur toute la hauteur de plusieurs épaisseurs de papier et soient bien rigides. 
Si vous utilisez au rectangle dont la longueur est égale à moins de deux fois la largeur (par exemple 15 x 13 cm), vous obtiendrez une boite avec un petit "rabat" (la bande de papier horizontale en haut de la caissette), qui ne couvre pas la hauteur totale de la boite comme ici :

De ce fait, un côté n’est pas doublé et s’affaisse à la cuisson. Ce n’est pas vraiment gênant sur une toute petite boite comme celle qui est prise en photo (qui fait 3 cm de côté), on voit à peine que l’arrête sur la gauche s’affaisse, mais sur une boite plus grosse c’est vraiment beaucoup plus visible et très moche.


En ce qui concerne le gâteau, c’est une version revisitée avec les ingrédients de mon placard du célèbre et excellent gâteau au chocolat mousseux de Laurence Salomon (vous trouverez la recette en de nombreux exemplaires sur le net, au départ chez Mercotte et Clea). Chez moi il est au chocolat au lait (parce que je n’aime pas trop le chocolat noir, et je n’en achète pas souvent) et au tahin, parce que je mange du houmous au moins une fois par semaine et que j’ai donc presque toujours de la purée de sésame dans mon placard.


Gâteau mousseux au chocolat au lait et au sésame

100 g de chocolat au lait
80 ml de lait (d’amandes selon la recette originale, sinon de vraie vache, ou d’eau, ça marche aussi)
1 cs bombée de tahin (ou 2 cs rases si votre tahin est liquide comme celui que j’achète)
2 œuf
1 cs rase de farine
3 cc de confiture d’abricot, ou autre parfum…

Faire fondre le chocolat préalablement grossièrement haché avec le liquide choisi ( 2 x 30 s à puissance moyenne au micro-ondes chez moi). Mélanger. Séparer les blancs des jaunes d’œufs et ajouter les jaunes d’œufs au chocolat fondu. Ajouter aussi la farine, et la confiture, mélanger.
Battre les blancs en neige et ajouter à l’appareil au chocolat, mélanger encore.
Cuire au four préalablement préchauffé à 160 °C pendant 15 min maximum, à adapter selon le moule. Dans les petites caissettes carrées de 3,7 cm de coté, 5 minutes suffisent.
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